La confirmation est une belle aventure humaine. C’est un sacrement que l’on vit comme un merveilleux moment de communion, de joie avec ses proches et avec Dieu. C’est un bel engagement personnel, on s’y prépare, on y réfléchit, notamment à la place de la foi dans notre vie…

Il faut du temps pour se préparer à recevoir ce sacrement (comme tout sacrement d’ailleurs), on choisit une personne chère comme parrain ou/et marraine, on écrit à l’évêque, on fait des retraites, on rencontre des gens, on partage, on discute de la vie et de l’Église. Ce sont des manières concrètes de réfléchir à son engagement. « Quelle est la place de Dieu dans ma vie ? », « Où en suis-je dans ma foi ?». Ce sont des questions qu’on peut s’être posées plusieurs fois dans notre vie mais auxquelles on répond rarement.

Après ces préparatifs, vient la célébration, un moment que j’ai attendu à la fois avec confiance et hâte ! Le 29 janvier 2022, vers 11h15, j’ai reçu la confirmation. Il faut savoir que l’évêque nous appelle chacun à notre tour, ce à quoi on doit répondre « Me voici » en se levant, d’une voix solennelle, afin que chacun puisse entendre que nous répondons à son appel. Au moment de recevoir la confirmation, les jeunes se dirigent vers l’évêque, leur parrain/marraine à leur côté. Et l’évêque discute un peu avec le futur confirmé, lui demande comment il voit son avenir de chrétien, comment il se sent. C’est rassurant, de se sentir soutenu par l’Église.